La poursuite

Meï était nerveuse, elle n'arrêtait pas de reagrder partout pour essayer de guetter le danger.

-Ne t'inquiète pas. Cela doit être un signe que ton fils n'est pas mort.

Elle avait peur de tourner en rond dans ce labirynthe. Le soleil étant coucné elle ne pouvait se fier à ses rayons. Alors, elle suivait Killak qui semblait savoir où aller.

Au bout d'une heure de marche, Killak et Meï était arrivé à la sortie.

-HA voila, nous sommes enfin sortit, que faisons nous maintenant?

Meï tomba à genoux à la sortie, enfin soulagé. Depuis qu'elle avait rencontré Killak, tout les évènements s'enchaînèrent sans aucun repos.

-Il faudrait trouver le cours d'eau le plus proche pour nous soigner. Espérant que les plaies dne soit pas déjà infectées.

Alors qu'elle pensait aux blessures, son bras lui fit souffrir. La douleur devenait plus intense. Elle mit sa main sur son bras pour essayer de taire le mal.

-Oui, cherchons un endroit où il y a de l'eau.

Killak ce concentra afin de ressentir l'eau pur du'une source fraîche. Il courrut en direction d'une source, Meï le suivit.

-Dés que j'aurait touché l'eau mon corps se régènérera, mais pour toi? Ton bras te fera t'il encore souffrir?

Meï regarda son bras. Elle essaya de le bouger. Elle arrêta lorsque la douleur samplifie.

-Je croit que je vait devoir porter un pensement pendant plusieurs jour. Cepandant je suis cointente que tu ne soit pas blesser si gravement.

-Merci, sa me touche, il n'y en a pas beaucoup des personnes comme toi, je ne sais pas comment j'ai fait pour me passé de toi, depuis que ma famille et mes amis sont morts, je n'avait plus personnes.

Dit en passant de l'eau sur la peau, et en sortant un pansement de son sac. Il plaça le pansement sur sa plaie et donna un baiser sur la joue de Mëi.

-Chez mes amis on s'embrassai comme sa pour se remercier de la remontée de moral, chez les hommes je te précise qu'une poignée de main suffisait.

Meï se senti rougir, mais elle apprécia le geste et la signification. Elle se sentait déjà mieux avce le bandage au bras.

-Je te remercie aussi.

Après un moment de silence elle poursuiva:

-Toi aussi, tu es unique dans ton genre.Tu es le seul et véritable ami que j'ai jamais eu.

Killak était étonné, une personne sans ami, juste lui était devenu son ami.

-C'est vrai? Tu n'a jamais eu d'ami? Pourtant une jeune et charmante elfe comme toi, devrait avoir beaucoup d'ami, tu as qu'elle age je n'ai jamais penser à te le demander.

Dit il avec un air décontractée.

-J'ai à peine un peu plus d'une centaine d'année. Mon devoir de noble au côté de mes parents m'empêchait de fréquenter beaucoup de personne sans leur consencement.

Meï se leva.Le ciel était envoutant ce soir. Elle n'avait pas vraiment aimé sa vie au palais, mais elle vait appris beaucoup de chose.

-L'imortalité me fait peur, lâcha-t-elle soudainement, Pour cela, j'envi les humain.

-C'est vrai, l'immortalité à ses incnvénients, tu voit tout tes être cher mourrir devant toi, j'ai eu des amis humains mort de vieillesse, j'était effondré, enfin ce n'est pas pire que mes amis mort au combats.

Il soupira et puis repris au bout de cinq secondes.

-Mais, ne t'inquiéte pas, on s'y fais.

Cela lui rappelait beaucoup de mauvais souvenir.

-Cela suffit! Partons d'ici. J'en ai assez vue.

Meï ne voualit plus parler de se sujet et même y penser.

-Où allons-nous? Sauf si tu as autre chose à faire sans moi.

Elle trouva étrange que la première personne rencontrer soit rester avec elle tout ce temps.

Killak fut assez surpris et rougit.

-Pourquoi cela, je suis bien avec toi, ce serait vraiment une...

Mais au moment ou Killak allait finir sa phrase, un flash lui apparut.

-Vite, il faut allez au cimetière quelqu'un pie la tombe de mon frère.

Dit il en sortant ses ailes et ses crocs.

Elle fut surprise par ce revirement de situation. Elle sorti ses ailes, à son tour.

-D'accord. je te suis.

Elle ne savait pas comment il savait que la tombe de son frère soit pillé. Cela serai un étrange intuition.

-Ne t'en fais pas, je le sais car moi et mon frère étions connecté par la pensée sans arrêt et cette pensée est restée aprés sa mort, sa veux dire que si il à des problèmes je le saurais.

Killak et Mëi S'envolèrent.

La suite au cimetiére.